Mode d’emploi

Publié le par Louis Racine

Mode d’emploi

 

Bienvenue sur ce blog exclusivement dédié à la publication de textes inédits.

Voici quelques précisions pour vous aider à choisir et/ou à vous orienter (mais peut-être préférerez-vous vous perdre, ou vous en remettre au hasard).

Le Sourire du Scribe est un polar à énigme classique.

Beau temps pour la vermine tient davantage du roman noir.

Tous les pigeons s’appellent Norbert, Bakounine n’est pas rentré, Joue-moi encore, Ça plus ça plus ça et Tais-toi quand tu parles constituent dans cet ordre les cinq volets de Pauvre garçon !, les trois premiers formant un sous-ensemble plus proche du polar à énigme que les deux suivants ; le cycle entier s’apparente au roman de formation.

Jadis éternel est un cas à part, une énigme en soi, sous la forme d’un récit autobiographique affectant de supposer acquise votre adhésion, et qui pourtant la décourage en permanence ; une expérience de lecture originale.

La Pierre est une chronique villageoise (quoique d’intérêt mondial) qui a la particularité d’avoir paru en temps réel.

Le Pays profond et L’Œil de Bathurst forment un diptyque portant le même titre que le premier volet. C’est une sorte de fable fantastico-réaliste.

Le Tube se compose de trois romans tressés entre eux ; on peut aussi les lire bout à bout (de préférence dans l’ordre A, B, C ou B, A, C), la question étant apparemment de savoir ce que contient le fameux tube.

L’Hiver minimal se présente comme un récit autobiographique, les souvenirs d’un aventurier ; mais jusqu’où faut-il le croire ?

Planteur est une nouvelle à suspense, divisée en trois chapitres, et désormais en librairie (voir ici).

Sauf et Sauve, avec leur apostille commune, sont conçus pour être lus soit dans cet ordre, soit conjointement ; genre : psychologico-fantastique ?

Les trois livraisons de Treize vendredis rassemblent des nouvelles d’inspirations et de tonalités variées, en général intimistes. L’ordre de lecture n’a aucune importance.

Malgré leur réelle diversité, tous les textes publiés sur ce blog entretiennent, indépendamment de leur genre ou de leur style, des relations plus ou moins patentes, plus ou moins secrètes ; de nombreuses récurrences, de fait, s’y jouent. Je vous les laisse découvrir et, je l’espère, apprécier. Puissiez-vous ne pas fuir trop vite !

À votre bon plaisir,

 

Louis Racine

 

 

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