One would have to be blind

Publié le par Louis Racine

One would have to be blind

Merci à Alan Bathurst de m'avoir signalé ce poème de circe, merci à circe de m'autoriser à le publier :

 

Comme un champ de lin

Mon cœur orphelin

A fleuri du jour au lendemain

Et tout mon chagrin

S'est évanoui

Comme un champ de lin

Mon cœur orphelin

Du soir au matin

S'est épanoui

 

 

 

Et merci au même A. B. de me permettre de reproduire ici un poème de son recueil Aipus Olethros :

 

Falaise


La chorale des galets
quand se retire la vague

emplit de ses soupirs
l’hémicycle de craie

Nul ne suit la démonstration
qui négativement progresse

au tableau

 

Publié dans La Pierre

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